mercredi 13 décembre 2023

HALTE AU TOTALITARISME D'ETAT (premiere edition le 28 septembre 2020, toujours vrai 3 ans après)

HALTE AU TOTALITARISME D'ETAT

 Il faut absolument, imperativement faire circuler le plus possible cette tribune car le gouvernement se sert de cette pseudo epidemie pour restreindre TOUTES nos libertés.

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/il-est-urgent-de-changer-de-227373 

(la nouvelle presentation du blog m'empeche de rendre cliquable le lien, désolé)

Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19

 (Si vous voulez rejoindre la liste des signataires, envoyez un email a cette adresse : 

join.unitedhealthprofessionals@gmail.com 

En precisant, nom, prenom, statut professionnel, ville)

Dans cette tribune, près de 200 scientifiques, universitaires et professionnels de santé (hospitaliers ou libéraux) critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu'elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées. Ils demandent que l'on remette à plat nos connaissances pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire consensuelle.

 

Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu'il prétend fondées scientifiquement sur l'analyse de l'épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu'ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.

 

Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?

Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l'obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.

Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l'ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L'espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.

Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.

 

On ne compte plus les mêmes choses

Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l'épidémie. Elles ont surtout abandonné l'indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s'étonner du fait qu'on trouve davantage aujourd'hui ce qu'on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.

Les autorités sanitaires ne s'interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu'une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces dernières semaines. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l'INSEE : « depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».

 

Il découle de tout ceci qu'il n'y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d'arrêter l’escalade, d'accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.

 

mardi 28 novembre 2023

Laurent TOUBIANA

 

Je viens de terminer son livre et je suis ébahi, parce que tout ce qu'il écrit correspond EXACTEMENT à ce que j'ai pu comprendre sur cette pseudo épidémie, tout seul dans mon coin, en observant et en me renseignant. Lui ses conclusions proviennent de constatations épidémiologiques, c'est à dire STATISTIQUES. Moi, me constatations viennent de mes consultations, des interrogatoires de patients, des examens cliniques et para cliniques, de mes connaissances personnelles de Pneumologue et d'immunologiste. 

Globalement, je suis d'accord avec tout ce qu'il écrit à 99,99 %. Il y a juste un ou deux détails sur lesquels je trébuche. Je vais lui  écrire, car son livre date de 2022, et depuis il y a eu du nouveau. En outre il oublie le rôle néfaste des radiologues et de l'interdiction de la cortisone et de deux ou trois autres points.

CE LIVRE EST UN MUST. IL DEVRAIT ETRE OBLIGATOIRE EN FAC DE MEDECINE.

Moi qui haïssait les épidémiologistes avant, responsables je croyais de la dictature Macron.... Je crois que c'est parce qu'il n'est pas médecin qu'il voit clair. Malheureusement, une très grande partie de mes confrères est aveuglée par 8 à 10 ans d'études décérébrantes, de bourrage de crane. Ce sont les médecins-épidémiologistes qui sont toxiques et mauvais. Nous sommes revenus au moyen age de la médecine, où les médecins croyaient à l'utilité des lavements, purgations, saignées et autres fariboles, sauf que maintenant c'est sous couvert de la "science", mais trafiquée et dévoyée.

vendredi 7 juillet 2023

TOUR DE FRANCE 2023

 Hier, étape du Tourmalet. En haut du col, et les kilomètres précédant le col, les cyclistes sont entourés par une foule impressionnante, avec parfois l'impression qu'ils se touchent presque.  Des milliers de gens qui respirent, crient, envoient des particules par milliards. Que les cyclistes respirent obligatoirement au passage. Heureusement que l'OMS  a dit que la pandémie, l'épidémie étaient terminés officiellement. Le Covid n'est plus un problème de santé publique. Tout le monde a des anticorps et est donc protégé grâce à l'omicron qui a fait office de vaccin naturel.

Malgré cela, cela n'empêche pas tout le monde d'avoir un masque à l'arrivée, y compris les coureurs qui je le rappelle ont inhalé toute la journée la respiration des spectateurs.... Décidément, les responsables du tour sont de fieffés crétins, analphabètes. Crétins parce qu'ils pensent que le covid est encore une menace, malgré l'OMS, qui n'est pas non plus ce qu'il se fait de mieux dans la rapidité de la compréhension des choses

Épidémie, la vraie j'entends, terminée dès mai 2020. 

Analphabètes parce que les responsables et décideurs ne savent pas lire les textes sur les boites de masque où il écrit de partout "masques inefficaces contre les virus".

Oui, ces gens là sont de vrais imbéciles.

Donc, je vais me passer du Tour. De toute façon, il n'y a plus rien d'intéressant sur le plan sportif.

Merci de faire circuler.